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fo calberson le mans
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fo calberson le mans

VIP-Blog de fo-logistique
  • 54 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 29/07/2011 15:04
    Modifié : 25/06/2012 08:40

    Garçon (30 ans)
    Origine : le mans
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    inflation 2011

    18/01/2012 09:39



    dossier indices INSEE : "Inflation 2011 =+2,5%"

    Envolée des prix des produits de grande consommation = +3,7%"

    1. Les prix à la consommation sont en hausse de 0,4 % en décembre 2011 ; ils augmentent de 2,5 % sur un anIndice des prix à la consommation de décembre 2011 et bilan de l’année 2011 = +2,5%

    Ce document présente l’évolution des indices en variations mensuelles et en glissement annuel. Les évolutions des prix en moyenne annuelle seront, quant à elles, publiées le jeudi 19 janvier 2012. Moyennes annuelles et glissements annuels sont des concepts différents : le premier s’appuie sur l’ensemble des prix d’une année et peut être comparé d’une année sur l’autre ; le second s’appuie sur les prix observés sur un seul mois d’une année donnée qui, rapportés à ceux du même mois de l’année précédente, fournissent le glissement annuel.

    Évolution mensuelle : +0,4 % - variation sur un an : +2,5 %En décembre 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en hausse de 0,4 %, après une augmentation de 0,3 % en novembre. Sur un an, il s’accroît de 2,5 %. Hors tabac, l’indice augmente également de 0,4 % (+2,4 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières, l’IPC croît de 0,3 % (+2,5 % sur un an). La hausse des prix du mois de décembre provient essentiellement de l’augmentation saisonnière des prix des services et des produits frais.

    Les prix des produits manufacturés s’accroissent en raison de fins de promotions. Ceux de l’énergie sont en légère baisse..

    Hausse saisonnière des prix des servicesLes prix des services s’accroissent en décembre 2011 (+0,5 % ; +1,8 % sur un an). Cet accroissement est imputable aux augmentations de prix dans certains services liés au tourisme. Sont notamment en hausse les prix des voyages touristiques tout compris (+19,6 % ; +1,6 % sur un an), des hébergements de vacances (+15,2 % ; +8,7 % sur un an) et des transports aériens (+3,4 % ; +2,2 % sur un an).

    En raison de la hausse du Smic en décembre 2011, augmentent notamment les tarifs des services domestiques (+2,5 % ; +7,1 % sur un an). Les prix des services d’enlèvement des ordures ménagères sont revus annuellement en décembre (+3,3 % ; +5,9 % en décembre 2010). A contrario, les prix des services de télécommunications continuent leur baisse (—0,3 % ; —2,8 % sur un an).

    Augmentation des prix des produits manufacturés. En décembre 2011, les prix des produits manufacturés augmentent (+0,5 % ; +1,0 % sur un an).

    Les prix de l’habillement et des chaussures sont, comme habituellement, en hausse au mois de décembre (+0,7 % ; +0,6 % en décembre 2010 ; +3,0 % sur un an). En raison de fins de promotions et de l’arrivée de nouveaux modèles, les prix des automobiles neuves sont en hausse (+2,5 % ; +3,1 % sur un an). Des sorties de promotions sont également enregistrées sur les prix des meubles et articles d’ameublement (+0,8 % ; +1,7 % sur un an) et sur les articles de ménage en textile (+3,6 % ; +7,1 % sur un an). A contrario, les prix des équipements photo et cinéma continuent de décroître (—1,6 % ; —16,0 % sur un an), tout comme ceux des équipements audio-visuels (—0,3 % ; —11,8 % sur un an), de façon cependant moindre qu’en novembre. Après une hausse en novembre, les prix des matériels de traitement de l’information baissent à nouveau (—0,4 % ; —7,7 % sur un an).

    La diminution des prix des équipements de téléphone et de télécopie s’accentue (—1,9 %, après —0,4 % en novembre ; —13,2 % sur un an).Les prix de l’alimentation augmentent légèrement

    Les prix de l’alimentation augmentent légèrement (+0,3 % ; +3,3 % sur un an), après une hausse de 0,3 % en novembre. Cette hausse est notamment imputable à celle, en partie saisonnière, des prix des produits frais (+0,9 % ; —1,7 % sur un an) : poissons et crustacés frais (+2,8 % ; +3,1 % sur un an) et légumes frais (+1,2 % ; —8,9 % sur un an). En raison d’une offre abondante, les prix des fruits frais, quant à eux, continuent de baisser (—0,3 %, après —1,5 % en novembre ; +4,0 % sur un an).

    Les prix des produits alimentaires hors produits frais sont en légère hausse (+0,2 % ; +4,1 % sur un an).

    Les prix des viandes sont notamment en hausse (+0,4 % ; +4,0 % sur un an). Après plus d’un an d’augmentations, les prix du pain et des céréales sont stables (+3,3 % sur un an), de même que ceux des huiles et margarines (+11,3 % sur un an) et ceux du café (+16,1 % sur un an).

    A contrario, les prix des produits chocolatés continuent de croître (+0,6 % ; +4,9 % sur un an) et ceux du thé et des infusions sont en hausse (+0,7 % ; +5,7 % sur un an).Légère baisse des prix de l’énergieEn décembre 2011, les prix de l’énergie sont en légère baisse (—0,1 %, après une hausse de 1,2 % en novembre ; +9,3 % sur un an).

    Les prix des carburants diminuent (—0,3 % ; +10,4 % sur an), alors que ceux des combustibles liquides augmentent légèrement (+0,3 % ; +17,4 % sur un an).

    L’inflation sous–jacente augmente : L’indicateur d’inflation sous-jacente (ISJ) s’accroît de 0,3 % en décembre 2011 (+1,8 % sur un an). L’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) croît de 0,4 % (+2,7 % sur un an). 2. En décembre 2011, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,2 % et de 3,7 % sur un an

    Indice des prix dans la grande distribution – Décembre 2011

    Dans la grande distribution, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,2 % en décembre 2011, après une hausse de 0,3 % en novembre.

    Sur un an, les prix s’accroissent de 3,7 %

    En décembre 2011, les prix sont supérieurs de 3,7 % à ceux de l’an dernier. En décembre 2010, ils étaient inférieurs de 0,3 % à ceux de décembre 2009. Les prix sont en hausse dans les hypermarchés, comme dans les supermarchés.

    Dans les hypermarchés, les prix des produits de grande consommation sont en hausse de 0,2 % en décembre 2011, après une augmentation de 0,3 % en novembre 2011.

    Sur un an, les prix des produits de grande consommation dans les hypermarchés s’accroissent de 3,7 %.

    En décembre 2010, leur variation annuelle était de —0,4 %. Dans les supermarchés, les prix des produits de grande consommation sont également en hausse de 0,2 % en décembre 2011, comme en novembre 2011.

    Sur un an, les prix des produits de grande consommation dans les supermarchés s’accroissent de 3,7 %. En décembre 2010, leur variation annuelle était de —0,1 %.

    Dans les autres formes de vente, les prix augmentent de 0,5 %> Les prix des produits de grande consommation dans les autres formes de vente augmentent de 0,5 % en décembre 2011, comme en novembre 2011. Sur un an, les prix s’accroissent de 4,9 %. En décembre 2010, leur variation annuelle était de 0,4 %.

    Les prix des produits alimentaires (hors produits frais) s’accroissent de 0,2 %

    En décembre 2011, dans la grande distribution, les prix des produits alimentaires (hors produits frais) s’accroissent de 0,2 %, comme en novembre 2011.

    Sur un an, les prix sont en hausse de 4,1 % en décembre 2011. En décembre 2010, leur variation annuelle était de —0,2 %. En décembre 2011, les prix des viandes augmentent de 0,5 % (+4,4 % sur un an), après une stabilité en novembre 2011.

    Cette hausse de prix résulte notamment de celles des prix de la viande de mouton et de cheval, de veau et du porc et de la charcuterie. En décembre 2010, la variation annuelle du prix des viandes était de +0,2 %. Les prix des boissons sont stables en décembre 2011 (+4,0 % sur un an).

    La hausse des prix des produits chocolatés, des thés et des infusions est, en effet, compensée, par la baisse de ceux des alcools. En décembre 2010, la variation annuelle du prix des boissons était nulle.

    Les prix des autres produits alimentaires augmentent de 0,1 % en décembre 2011 (+3,9 % sur un an). En décembre 2010, la variation annuelle du prix des autres produits alimentaires était de —0,6 %.

    Les prix des produits d’entretien et de l’hygiène et beauté augmentent légèrement.

    En décembre 2011, les prix des produits d’entretien et d’hygiène et beauté augmentent légèrement (+0,1 %), après un accroissement de 0,5 % en novembre 2011. Sur un an, les prix des produits d’entretien et de l’hygiène et beauté sont en hausse de 2,2 % en décembre 2011. En décembre 2010, leur variation


     

     






    inflation 2011

    13/01/2012 14:37



    A fin Décembre 2011 l'inflation est de 2.5% par rapport à Décembre 2010
    Sur un mois, la variation de l'indice des prix est de 0.4%
    L'inflation moyenne 2010 est de 1.5% pour 0.1% en 2009
    Détail moyenne 2010...


       INFLATION MOYENNE 2011 A 2.1% DU FAIT DU PRIX DU PETROLE

     

    La tendance de l'inflation est nettement haussière depuis début 2011. Les deux principales composantes tirant l'inflation vers le haut sont l'énergie qui a augmenté de 11.5% sur les 12 derniers mois et les produits alimentaires qui ont eux augmenté de 3.2%.
    Ces deux augmentations se produisent en même temps, amplifiant ainsi la hausse de l'inflation, comme cela c'était déjà produit mi 2008
    Finalement, l'année 2011 devrait se terminer avec un mois de décembre proche de 2.3% et une moyenne annuelle à de 2.1% (confirmation insee le 19 janvier).     Prévision d'inflation pour 2011...






    affiche austérité

    13/01/2012 14:31



    PDF - 123.7 ko



     






    la loi ( tepa)

    13/01/2012 13:59



    LE COUP PIED DE FO DANS LA FOURMILIÈRE DE LA LOI TEPA
     

    La loi en « faveur du travail de l’emploi et du pouvoir d’achat n’a jamais été appliquée dans la plupart des entreprises employant des salariés rémunérés sur la base du forfait temps. Et cela pourrait leur coûter très cher.

    La loi en « faveur du travail de l’emploi et du pouvoir d’achat » (TEPA) vise à faciliter le recours aux heures supplémentaires par les entreprises et à augmenter le revenu de leurs salariés.

    Concrètement selon les textes réglementaires, elle permet aux employeurs de profiter d’énièmes allègements de cotisations patronales. Et aux salariés de faire des heures supplémentaires exonérées de cotisations salariales mais aussi d’impôt sur le revenu.

    Bien que le dispositif soit entré en vigueur le 1er octobre 2007, beaucoup de salariés n’en ont jamais vu la couleur… sans forcément le savoir.

    C’est le syndicat FO-Syntec qui a soulevé le lièvre au printemps dernier après avoir repéré que les sociétés de service et d’ingénierie informatique (SS2I) n’appliquaient pas la loi. Sachant que dans ces sociétés de conseil, la plupart des salariés sont rémunérés sur la base du forfait temps, qui inclut une majoration mensuelle et automatique de 10% des heures supplémentaires, FO-Syntec a découvert que les employeurs du secteur n’avaient pas déclaré ces heures sup’ relevant également de la loi TEPA.

    La menace du syndicat de porter les préjudices constatés au devant la justice a fait réfléchir plus d’un patron de SS2I. Certains ont fini par reconnaître leurs torts et ouvrir des négociations.

    C’est de cas de Steria (6.000 salariés) où la direction a commencé en septembre à payer les arriérés sous la pression du délégué FO, Malek Ferhati, qui a bataillé ferme pour obtenir réparation.

    Depuis 2007, cela représente en moyenne 15 heures non décomptées par mois et par salarié, soit environ 80 euros par mois sur la fiche de paie au titre de cotisations salariales indument acquittées (au moins 7,5 millions d’euros). Par ailleurs étant donné qu’ils n’ont pas pu bénéficier non plus des défiscalisations prévues par la loi, les salariés de Steria ont commencé à se rapprocher du Trésor public pour réévaluer leurs situations au regard de l’impôt sur le revenu.

    Depuis, le problème a été soulevé dans d’autres entreprises où les salariés sont soumis également au régime du forfait annuel. Comme France Télévisions qui vient de répondre partiellement à une interpellation sur le sujet par Eric Vial, délégué central FO.

    En effet, la direction du groupe audiovisuel public s’engage à envoyer, dans les plus brefs délais, aux personnels ainsi lésés « une attestation de déduction fiscale au titre des années 2007, 2008, 2009 et 2010 mentionnant le montant des heures supplémentaires exonérées » afin que « chacun d’entre eux puisse faire valoir leurs droits auprès des services fiscaux ».

    Pour l’exercice 2011, la déclaration annuelle des salaires devrait intégrer les corrections. Selon les cas, les gains peuvent aller jusqu’à 2.000 euros par an. Le problème des exonérations de cotisation est, quant à lui, encore à l’étude.

    Rappelons que si FO est opposée à ce dispositif dont elle demande toujours la suppression, il n’en demeure pas moins, explique l’organisation syndicale, qu’il n’y aucune raison que les entreprises s’affranchissent d’une loi qu’elles ont largement inspirée.

    JOUR APRÈS JOUR DU JEUDI 12 JANVIER 2012


     

     









    chiffres utiles

    13/01/2012 10:47



     
     

     

    /// LES CHIFFRES UTILES
    Les chiffres font partie de la vie quotidienne et nous sommes aujourd’hui noyés sous une quantité impressionnante de données et de statistiques. Difficile de se retrouver dans ce dédale. C’est pourquoi Force Ouvrière vous informe régulièrement de l’évolution de certains de ces repères précis.
     
     
     
    INDICES DES PRIX À LA CONSOMMATION (INSEE)
     
    NOVEMBRE 2011
    +0,3%
    DU 30/11/2010 AU 30/11/2011
    +2,5%
    DU 01/01/2011 AU 30/11/2011
    +2,04%
     
     Prochaine publication: 12 janvier 2012
    INDICE DE RÉFÉRENCE DES LOYERS
    3e trimestre 2011, l’indice de référence des loyers atteint 120,95 – évolution sur un an: + 1,9%
     
     Prochaine publication: 13 janvier 2012
    L’article 9 de la loi n° 2008-111 du 8 février 2008 a modifié l’indice de référence des loyers. Le nouvel indice correspond à la moyenne, sur les douze derniers mois, de l’indice des prix à la consommation hors tabac et hors loyers.
     
     
    LES ALLOCATIONS CHÔMAGE
    Montant des allocations
    Dans le cas général, le mode de calcul de votre allocation s’établit comme suit.
    Une comparaison est effectuée entre:
    - 40,4% de l’ancien salaire plus une partie fixe de 11,34 euros par jour;
    - 57,4% de cet ancien salaire;
    - l’allocation minimale de 27,66 euros. C’est le montant le plus favorable pour l’allocataire qui sera retenu.
    Une réserve cependant, le montant de l’allocation ne peut jamais dépasser 75% du salaire journalier de référence.
    Les règles d’indemnisation
    Le principe, c’est qu’un jour cotisé égale un jour indemnisé. Trois paramètres sont pris en compte.
    1 - La période de référence. C’est la période pendant laquelle on regarde si le demandeur d’emploi a travaillé, donc cotisé. Pour les moins de 50 ans, ce sont les 28 derniers mois à compter de la rupture du contrat de travail. Pour les plus de 50 ans, ce ne sont pas 28 mois, mais 36.
    2 - La durée minimale de cotisation. Pour être indemnisé, il faut avoir travaillé au minimum 4 mois, soit 122 jours dans la période de référence.
    3 - Les durées maximales d’indemnisation. Pour les moins de 50 ans, la durée maximale est de 24 mois. Pour les 50 ans et plus, cette durée est de 36 mois. Exemple: un salarié qui a travaillé 4 mois dans les 28 derniers mois (il a moins de 50 ans) aura droit à 4 mois d’indemnisation. S’il avait travaillé 7 mois, il aurait eu droit à 7 mois d’indemnisation.
    Autre exemple: un salarié de plus de 50 ans qui a travaillé 27 mois aura droit à 27 mois d’indemnisation; s’il avait travaillé 46 mois, il aurait eu droit à 36 mois, soit le plafond. Ces règles s’appliquent à compter du 1er avril 2009 pour les procédures de licenciements individuels ou collectifs engagées à compter de cette date. Si la procédure a été engagée avant, ce sont les anciennes règles qui s’appliquent.
    LE SMIC
    Depuis le 1er janvier 2012:
    9,22 euros l’heure,
    soit 1 398,37 euros brut par mois
    pour 151,67 heures.
    FONCTIONNAIRES
    Depuis le 1er janvier 2011:
    9 euros l’heure,
    soit 1 365 euros brut par mois
    pour 151,67 heures.
    CHÔMAGE
    L’allocation doit s’élever à 26,93 euros par jour au minimum, mais ne peut dépasser 75% du salaire journalier de référence (salaire des douze mois qui ont précédé la rup-ture du contrat de travail).

    Vous trouverez tous les détails dans le tableau «Allocations chômage» ci-dessus.
    SÉCURITÉ SOCIALE
    Plafond mensuel de la Sécurité sociale
    du 1er janvier au 31 décembre 2012
    3 031 euros.
    MÉDECINE CONVENTIONNÉE
    (tarifs secteur 1)
    Au cabinet du médecin omnipraticien:
    23,00 euros
    Au cabinet du médecin spécialiste:
    25,00 euros
    ASSURANCE-VIEILLESSE
    Minimum vieillesse:
    Au 1er avril 2011:
    8 907,34 euros par an pour une personne seule
    (742,27 euros par mois)
    14 181,30 euros par an pour un couple
     
    Minimum contributif majoré:
    7 974,55 euros par an pour une personne (soit 664,54 euros par mois).
    ALLOCATIONS FAMILIALES
    2 enfants: 125,78 €
    3 enfants: 286,94 €
    Par enfant en plus: 161,17 €

    Majoration pour âge des allocations:
    35,38 € de 11 à 16 ans
    et 62,90 € après 16 ans.

    Pour vos enfants nés après le 30 avril 1997, vous ne recevrez pas ces deux majorations; vous recevrez une majoration de 62,90 € à partir du mois suivant leur 14e anniversaire.
    COTISATIONS SOCIALES, EN POURCENTAGE DU SALAIRE BRUT
    CSG: 7,5% depuis le 1er janvier 1998 (au lieu de 3,4%) sur 97% du salaire.
     
    CRDS(1): 0,5% depuis le 1er février 1996 sur 97% du salaire.
     
    SÉCURITÉ SOCIALE
    Assurance-maladie:
    Assurance-vieillesse:
    Assurance-vieillesse déplafonnée:
    0,75%
    6,65%
    0,10%
     
    ASSURANCE-CHÔMAGE
    - Cotisation ASSEDIC
    Tranches A et B

    APEC (2)

    2,40%

    0,024%
     
    RETRAITES COMPLÉMENTAIRES
    - ARRCO
    (Taux minima obligatoires)
    Non-cadres tranches A et B
    et cadres tranche A:

    - AGIRC
    Cadres tranches B et C:

    - Cotisation AGFF
    Tranche a (3)
    Tranche b (4)



    3%


    7,70%


    0,80%
    0,90%
     
    1) Contribution au remboursement de la dette sociale.
    2) Association pour l’emploi des cadres.
    3) Tranche A: dans la limite du plafond de la Sécu.
    4) Tranche B: entre 1 et 4 fois le plafond de la Sécu.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     



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