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fo calberson le mans
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fo calberson le mans

VIP-Blog de fo-logistique
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  • Créé le : 29/07/2011 15:04
    Modifié : 25/06/2012 08:40

    Garçon (30 ans)
    Origine : le mans
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    [ infos juridiques ] [ actualités ]

    l'etat joue avec le feu

    13/01/2012 14:28



    Editorial FO HEBDO du 30 novembre 2011 : le Gouverment joue avec le feu
     

    Comme nous ne cessons de le dire depuis que la crise a éclaté il y a quatre ans, sortir de cette crise du système capitaliste impose des ruptures à trois niveaux : international, européen et national.

    On en est loin. Pire, sur le plan européen, toute modification du rôle de la Banque centrale semble conditionnée par une constitutionnalisation de l’austérité : ce qui serait tout simplement intolérable.

    En France, le gouvernement joue avec le feu. Non seulement il accentue de semaine en semaine l’austérité au détriment des salariés, mais il les stigmatise (un arrêt de travail est suspecté de fraude) et tente de les opposer entre eux, notamment entre public et privé (cf. les débats hallucinants sur les jours de carence). La réduction accentuée des dépenses publiques et sociales continue à fragiliser ou remettre en cause le service public républicain.

    Pour ne prendre qu’un exemple, la réduction d’un quart du budget des voies navigables va empêcher les travaux nécessaires sur certains barrages ou écluses, par exemple en amont de la Seine. En quelque sorte, la vie des citoyens passe derrière la satisfaction des marchés financiers et l’étiquette AAA.

    S’agissant de la fonction publique d’État, le travail fait sur le terrain et notre attachement au service public républicain nous placent maintenant –c’est historique– en première position syndicale. Visiblement, en fin de semaine dernière, le gouvernement avait du mal à confirmer la chose. Ne lui en déplaise, c’est la réalité.

    Au titre des bonnes nouvelles, notons aussi le vote du Bureau international du travail sur notre plainte relative à la loi du 20 août 2008 sur la représentativité. Cette plainte, déposée en fonction du contenu des conventions internationales du travail et de la jurisprudence du comité des libertés syndicales, ne demandait pas l’abrogation de la loi.

    Elle pointait certains éléments, selon nous contraires aux conventions internationales. Dans ses conclusions, le BIT invite ainsi le gouvernement à examiner avec les interlocuteurs sociaux la possibilité de réviser la loi pour qu’elle soit effectivement conforme à la liberté syndicale, s’agissant notamment des délégués syndicaux. C’est une victoire politique pour FO. D’ailleurs le gouvernement s’est exprimé publiquement avant le vote, ne respectant d’ailleurs pas les procédures, pour communiquer « à sa sauce ».

    Certes, l’avis du BIT n’est pas celui d’un tribunal. Il n’a pas d’effet concret immédiat, mais il nous donne la possibilité de maintenir la pression, ce qui est loin d’être anodin.

    Au passage –pour le « fun »–, on notera que les observations de la CGT et de la CFDT sont incluses dans la réponse du gouvernement. En quelque sorte, elles sont « embedded » par le gouvernement, comme l’étaient les journalistes par l’armée américaine pendant la guerre du Golfe.

    À la lumière de tout cela, on comprend encore mieux le caractère quelque peu hypocrite du « syndicalisme rassemblé » et de l’intersyndicale, raison supplémentaire pour que nous conservions mordicus notre liberté.

    Oui à l’action commune quand nous sommes d’accord, non quand nous ne le sommes pas et nous disons pourquoi.

    S’agissant du 13 décembre, il appartiendra aux unions départementales de se déterminer en fonction du contexte local et de la nature des actions envisagées. Mais Force Ouvrière doit garder et gardera ses positions et revendications.

    Par exemple, nous n’avons toujours pas avalé la contre-réforme des retraites de 2010 et sa récente aggravation, nous demandons l’abandon de l’austérité et nous nous prononçons pour la préparation d’un appel commun à 24 heures de grève interprofessionnelle.

    C’est notre détermination, c’est notre cohérence, c’est notre indépendance.

    Libres, indépendants, déterminés ; tels nous sommes, tels nous resterons.

    Jean-Claude Mailly

    Exemplaire FO Hebdo consultable à l’Union Départementale


     

     






    la loi ( tepa)

    13/01/2012 13:59



    LE COUP PIED DE FO DANS LA FOURMILIÈRE DE LA LOI TEPA
     

    La loi en « faveur du travail de l’emploi et du pouvoir d’achat n’a jamais été appliquée dans la plupart des entreprises employant des salariés rémunérés sur la base du forfait temps. Et cela pourrait leur coûter très cher.

    La loi en « faveur du travail de l’emploi et du pouvoir d’achat » (TEPA) vise à faciliter le recours aux heures supplémentaires par les entreprises et à augmenter le revenu de leurs salariés.

    Concrètement selon les textes réglementaires, elle permet aux employeurs de profiter d’énièmes allègements de cotisations patronales. Et aux salariés de faire des heures supplémentaires exonérées de cotisations salariales mais aussi d’impôt sur le revenu.

    Bien que le dispositif soit entré en vigueur le 1er octobre 2007, beaucoup de salariés n’en ont jamais vu la couleur… sans forcément le savoir.

    C’est le syndicat FO-Syntec qui a soulevé le lièvre au printemps dernier après avoir repéré que les sociétés de service et d’ingénierie informatique (SS2I) n’appliquaient pas la loi. Sachant que dans ces sociétés de conseil, la plupart des salariés sont rémunérés sur la base du forfait temps, qui inclut une majoration mensuelle et automatique de 10% des heures supplémentaires, FO-Syntec a découvert que les employeurs du secteur n’avaient pas déclaré ces heures sup’ relevant également de la loi TEPA.

    La menace du syndicat de porter les préjudices constatés au devant la justice a fait réfléchir plus d’un patron de SS2I. Certains ont fini par reconnaître leurs torts et ouvrir des négociations.

    C’est de cas de Steria (6.000 salariés) où la direction a commencé en septembre à payer les arriérés sous la pression du délégué FO, Malek Ferhati, qui a bataillé ferme pour obtenir réparation.

    Depuis 2007, cela représente en moyenne 15 heures non décomptées par mois et par salarié, soit environ 80 euros par mois sur la fiche de paie au titre de cotisations salariales indument acquittées (au moins 7,5 millions d’euros). Par ailleurs étant donné qu’ils n’ont pas pu bénéficier non plus des défiscalisations prévues par la loi, les salariés de Steria ont commencé à se rapprocher du Trésor public pour réévaluer leurs situations au regard de l’impôt sur le revenu.

    Depuis, le problème a été soulevé dans d’autres entreprises où les salariés sont soumis également au régime du forfait annuel. Comme France Télévisions qui vient de répondre partiellement à une interpellation sur le sujet par Eric Vial, délégué central FO.

    En effet, la direction du groupe audiovisuel public s’engage à envoyer, dans les plus brefs délais, aux personnels ainsi lésés « une attestation de déduction fiscale au titre des années 2007, 2008, 2009 et 2010 mentionnant le montant des heures supplémentaires exonérées » afin que « chacun d’entre eux puisse faire valoir leurs droits auprès des services fiscaux ».

    Pour l’exercice 2011, la déclaration annuelle des salaires devrait intégrer les corrections. Selon les cas, les gains peuvent aller jusqu’à 2.000 euros par an. Le problème des exonérations de cotisation est, quant à lui, encore à l’étude.

    Rappelons que si FO est opposée à ce dispositif dont elle demande toujours la suppression, il n’en demeure pas moins, explique l’organisation syndicale, qu’il n’y aucune raison que les entreprises s’affranchissent d’une loi qu’elles ont largement inspirée.

    JOUR APRÈS JOUR DU JEUDI 12 JANVIER 2012


     

     









    chiffres utiles

    13/01/2012 10:47



     
     

     

    /// LES CHIFFRES UTILES
    Les chiffres font partie de la vie quotidienne et nous sommes aujourd’hui noyés sous une quantité impressionnante de données et de statistiques. Difficile de se retrouver dans ce dédale. C’est pourquoi Force Ouvrière vous informe régulièrement de l’évolution de certains de ces repères précis.
     
     
     
    INDICES DES PRIX À LA CONSOMMATION (INSEE)
     
    NOVEMBRE 2011
    +0,3%
    DU 30/11/2010 AU 30/11/2011
    +2,5%
    DU 01/01/2011 AU 30/11/2011
    +2,04%
     
     Prochaine publication: 12 janvier 2012
    INDICE DE RÉFÉRENCE DES LOYERS
    3e trimestre 2011, l’indice de référence des loyers atteint 120,95 – évolution sur un an: + 1,9%
     
     Prochaine publication: 13 janvier 2012
    L’article 9 de la loi n° 2008-111 du 8 février 2008 a modifié l’indice de référence des loyers. Le nouvel indice correspond à la moyenne, sur les douze derniers mois, de l’indice des prix à la consommation hors tabac et hors loyers.
     
     
    LES ALLOCATIONS CHÔMAGE
    Montant des allocations
    Dans le cas général, le mode de calcul de votre allocation s’établit comme suit.
    Une comparaison est effectuée entre:
    - 40,4% de l’ancien salaire plus une partie fixe de 11,34 euros par jour;
    - 57,4% de cet ancien salaire;
    - l’allocation minimale de 27,66 euros. C’est le montant le plus favorable pour l’allocataire qui sera retenu.
    Une réserve cependant, le montant de l’allocation ne peut jamais dépasser 75% du salaire journalier de référence.
    Les règles d’indemnisation
    Le principe, c’est qu’un jour cotisé égale un jour indemnisé. Trois paramètres sont pris en compte.
    1 - La période de référence. C’est la période pendant laquelle on regarde si le demandeur d’emploi a travaillé, donc cotisé. Pour les moins de 50 ans, ce sont les 28 derniers mois à compter de la rupture du contrat de travail. Pour les plus de 50 ans, ce ne sont pas 28 mois, mais 36.
    2 - La durée minimale de cotisation. Pour être indemnisé, il faut avoir travaillé au minimum 4 mois, soit 122 jours dans la période de référence.
    3 - Les durées maximales d’indemnisation. Pour les moins de 50 ans, la durée maximale est de 24 mois. Pour les 50 ans et plus, cette durée est de 36 mois. Exemple: un salarié qui a travaillé 4 mois dans les 28 derniers mois (il a moins de 50 ans) aura droit à 4 mois d’indemnisation. S’il avait travaillé 7 mois, il aurait eu droit à 7 mois d’indemnisation.
    Autre exemple: un salarié de plus de 50 ans qui a travaillé 27 mois aura droit à 27 mois d’indemnisation; s’il avait travaillé 46 mois, il aurait eu droit à 36 mois, soit le plafond. Ces règles s’appliquent à compter du 1er avril 2009 pour les procédures de licenciements individuels ou collectifs engagées à compter de cette date. Si la procédure a été engagée avant, ce sont les anciennes règles qui s’appliquent.
    LE SMIC
    Depuis le 1er janvier 2012:
    9,22 euros l’heure,
    soit 1 398,37 euros brut par mois
    pour 151,67 heures.
    FONCTIONNAIRES
    Depuis le 1er janvier 2011:
    9 euros l’heure,
    soit 1 365 euros brut par mois
    pour 151,67 heures.
    CHÔMAGE
    L’allocation doit s’élever à 26,93 euros par jour au minimum, mais ne peut dépasser 75% du salaire journalier de référence (salaire des douze mois qui ont précédé la rup-ture du contrat de travail).

    Vous trouverez tous les détails dans le tableau «Allocations chômage» ci-dessus.
    SÉCURITÉ SOCIALE
    Plafond mensuel de la Sécurité sociale
    du 1er janvier au 31 décembre 2012
    3 031 euros.
    MÉDECINE CONVENTIONNÉE
    (tarifs secteur 1)
    Au cabinet du médecin omnipraticien:
    23,00 euros
    Au cabinet du médecin spécialiste:
    25,00 euros
    ASSURANCE-VIEILLESSE
    Minimum vieillesse:
    Au 1er avril 2011:
    8 907,34 euros par an pour une personne seule
    (742,27 euros par mois)
    14 181,30 euros par an pour un couple
     
    Minimum contributif majoré:
    7 974,55 euros par an pour une personne (soit 664,54 euros par mois).
    ALLOCATIONS FAMILIALES
    2 enfants: 125,78 €
    3 enfants: 286,94 €
    Par enfant en plus: 161,17 €

    Majoration pour âge des allocations:
    35,38 € de 11 à 16 ans
    et 62,90 € après 16 ans.

    Pour vos enfants nés après le 30 avril 1997, vous ne recevrez pas ces deux majorations; vous recevrez une majoration de 62,90 € à partir du mois suivant leur 14e anniversaire.
    COTISATIONS SOCIALES, EN POURCENTAGE DU SALAIRE BRUT
    CSG: 7,5% depuis le 1er janvier 1998 (au lieu de 3,4%) sur 97% du salaire.
     
    CRDS(1): 0,5% depuis le 1er février 1996 sur 97% du salaire.
     
    SÉCURITÉ SOCIALE
    Assurance-maladie:
    Assurance-vieillesse:
    Assurance-vieillesse déplafonnée:
    0,75%
    6,65%
    0,10%
     
    ASSURANCE-CHÔMAGE
    - Cotisation ASSEDIC
    Tranches A et B

    APEC (2)

    2,40%

    0,024%
     
    RETRAITES COMPLÉMENTAIRES
    - ARRCO
    (Taux minima obligatoires)
    Non-cadres tranches A et B
    et cadres tranche A:

    - AGIRC
    Cadres tranches B et C:

    - Cotisation AGFF
    Tranche a (3)
    Tranche b (4)



    3%


    7,70%


    0,80%
    0,90%
     
    1) Contribution au remboursement de la dette sociale.
    2) Association pour l’emploi des cadres.
    3) Tranche A: dans la limite du plafond de la Sécu.
    4) Tranche B: entre 1 et 4 fois le plafond de la Sécu.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     



    meilleurs voeux

    13/01/2012 10:44



    bonjour a tous

    l'équipe fo logistique,vous présente avec un peu de retard nos meilleurs voeux pour cette nouvelle année a tout nos adhérents (es), ainsi qu'aux visiteurs.

     

     






    c f a

    13/01/2012 10:35



    CONGÉ DE FIN D’ACTIVITÉ : FO TRANSPORTS TOUJOURS OPPOSÉ À L’ACCORD CONCLU
     

    Patrice Clos, secrétaire national de FO Transports, explique pourquoi son organisation assigne les partenaires sociaux ayant conclu l’accord sur le CFA devant le TGI de Paris, le 17 janvier 2012. Et redit son désaccord sur le fond.

    L’Officiel des Transporteurs  : FO et la CGT assignent en référé les organisations syndicales et patronales qui ont signé l’accord sur le CFA en mai 2011. Quelles sont vos motivations ?

    Patrice Clos : "Notre propos est de rappeler que la négociation sur le CFA ne s’est pas déroulée dans les règles. J’en veux pour preuve que les convocations pour la première réunion nous ont été envoyées le vendredi pour le lundi. Difficile dans ces conditions de constituer une délégation. Les autres syndicats étaient mieux informés que nous car ils fonctionnaient en bilatérales alors que la CGT et nous avions été mis hors jeu.

    Sur le fond, nous tenons également à manifester notre désaccord. Les propositions qui ont été faites ne permettent pas la pérennisation du CFA, sans compter qu’on nous faisait passer d’un seul coup de 55 à 57 ans, un âge où la pénibilité (travail de nuit, horaires décalés, stress) prend tout son sens.

    
Vous soulevez également la question du financement du CFA ?

    Cet accord pose problème pour les carrières longues, notamment en termes de financement car la modification Fillon a raccourci les paliers de financement. Moi, je suis administrateur au Fongecfa. Avec la modification Fillon, ce sont 41 millions d’euros qui vont manquer dans les caisses dans les prochaines années. Lorsque je pose la question, personne ne me répond. En fait, dans l’accord, on a fait croire n’importe quoi aux autres organisations syndicales sur la participation financière de l’État au-delà des deux prochaines années.

    
L’accord a été tout récemment étendu à l’ensemble des entreprises...

    Cela ne change rien à notre détermination. D’une part, au-delà du référé sur l’accord, nous voulons de vraies négociations sur le fond et sommes décidés à aller jusqu’au bout s’il le faut.

    D’autre part, l’extension va nous inciter à aller au tribunal administratif pour en contester l’application, laquelle n’a pas été effectuée selon nous dans les règles."

    Par Slimane Boukezzoula | L’Officiel des Transporteurs |11/01/2012|


     

     






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